Fondeur
SAINT-CYBARD
Informations :
- Nationalité: Française
- Activité: Fondeur



Description:
Usine de construction mécanique, fonderie de Saint-Cybard – 116 rue de Bordeaux – Angoulême (Charente)
Cet atelier de construction mécanique pour la papeterie est construit en 1825 pour Cordier. En 1857, celui-ci y ajoute une fonderie de seconde fusion pour la fonte moulée. Après Cordier, l’usine est la propriété de Barraud, puis de Birot et, au début du 20e siècle, elle est connue sous la raison sociale L. Fleuranceau. Elle se spécialise dans la fabrication d’engrenages, de poulies et de volants jusqu’à 6 t. L’usine ferme dans les années 1930. Il ne reste qu’un petit atelier en rez-de-chaussée de fonction inconnue et des vestiges d’autres corps de bâtiments (murs sans couverture).
– Annexe 1 : Fonderies de Saint-Cybard, fondées en 1825. L. Fleuranceau, fournisseur de la guerre, de la marine et des chemins de fer. Extrait de L’Illustration économique et financière, 1922, p. 96.
Les ” Fonderies de Saint-Cybard “, doyennes des Fonderies d’Angoulême ; anciennement connues sous les noms de Cordier, J. Barraud, Barraud Frères, Birot-Fleuranceau et Cie, et actuellement sous celui de L. FIeuranceau, sont situées à Angoulême, dans l’Ile de Saint-Cybard, formée par la Charente, au pied de la ville. Elles existent à cet endroit depuis 1825.
Fabriquant tant sur modèles qu’au trousseau toutes pièces de fonte utilisées en mécanique générale, cette maison s’est particulièrement fait connaître par son moulage au trousseau exécuté par les procédés et systèmes Birot (breveté S.G.D.G.).
Les Fonderies de Saint-Cybard se sont spécialisées dans la fabrication des engrenages de toutes formes et de toutes dimensions jusqu’à six tonnes, ainsi que des poulies, volants et pièces troussées ; lesquels, exécutés journellement par un personnel particulièrement habile, maintiennent la vieille réputation de la maison.
– Annexe 2 : La fonderie de Saint-Cybard. Extrait de : Peaucelle, Denis. Fumées du Nil, n° 0, Angoulême, 1988.
Jean-Marie Cordier crée en 1837, à l’extrémité de l’île de Saint-Cybard, une fonderie qui fabriquera des pièces de mécanique générale et de papeterie et qui se perpétuera sous des appellations diverses jusqu’en 1925. Les bâtiments seront vendus aux Papeteries Bardou en 1930.
Sources et liens externes
Sources : http://dossiers.inventaire.poitou-charentes.fr/le-patrimoine-industriel/notice.php?id=IA1606611772 vues au total, 0 vues aujourd'hui
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