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Fondeur

VALSUANI

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  • Activité: Fondeur

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Fiche créée ou mise à jour par : le 22 mai 2014

Description:

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LES VALSUANI

Le premier : VALSUANI Marcello

I – 1) VALSUANI Claude – Fils de Marcello

I – 2) VALSUANI Marcel – Fils de Claude

 

II – APRES LES VALSUANI

II – 1) DEMEURISSE-SOKOLOWSKI

II – 2) FONDERIE TAUBE-LEBEL

II – 3) FONDERIE TAUBE

II – 4) FONDERIE DE LA PLAINE

II – 5) AIRAINDOR

II – 6) AIRAIN D’ART

II – 7) ATELIER DES ARTS AIRAINDOR-VALSUANI

II – 8) COMPAGNIE PARISIENNE DES BRONZES ET SCULPTURES – TABLEAUX (BPBS)

 

Et plus récemment : « CEPIMEX » en tant que compagnie d’import-export.

 

III – 1) VALSUANI Attilio – Fils de Marcello

III – 2) VALSUANI Lucien – Fils d’Attilio

III – 3) VALSUANI Claude – Fils de Lucien

III – 4) VALSUANI Thierry – Fils de Claude

 

IV – APRES LES VALSUANI : DELVAL

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I – 1) VALSUANI Claude – Décédé le 9 septembre 1923 – Fils de Marcello

Dates de l’entreprise : 1908-1981

Nationalité : Française

Adresse : 74 rue des Plantes, Paris XIVe (quartier Plaisance)

Cachet : CIRE / C. VALSUANI / PERDUE

(cachet propriété d’Airaindor-Atelier des arts depuis 1981)

Sur les fontes réalisées après 1981 par Leonardo Benatov, les cachets sont soit identiques à l’ancien, soit légèrement plus grands, à la demande du client.

 

Marcello Valsuani émigra d’Italie, probablement en tant que spécialiste de la fonte à cire perdue et de la patine au chalumeau, à l’appel d’Hébrard pour l’ouverture de sa fonderie en 1902. Marcello Valsuani a dû précéder, puis tantôt remplacer, tantôt seconder comme directeur technique ou chef d’atelier Albino Palazzolo qu’Hébrard n’embaucha qu’en 1903 et qui retourna en Italie au moment de la Première Guerre mondiale.

Il existe un bronze de Rembrandt Bugatti, sculpteur mort en 1916 et dont toute la production fut fondue par Hébrard sous contrat d’exclusivité, dédicacé « À l’ami Valsuani ». Rembrandt Bugatti qui se trouvait très enfermé par son contrat avec Hébrard, aurait envisagé de le rompre et de faire fondre ses œuvres par Marcello Valsuani en l’incitant à s’installer à son compte. Mais c’est peut-être grâce à l’insistance de Bugatti et d’autres artistes désireux de profiter du savoir-faire de cette famille sans passer par les contrats Hébrard, que Claude, fils de Marcello, ouvre sa fonderie à Paris, en 1908, 74 rue des Plantes.

Claude Valsuani aurait indiqué aux firmes automobiles Bugatti (créée par le frère du sculpteur) et Renault son procédé de fonte à cire perdue pour produire des pièces de moteur.

Valsuani reprend une adresse occupée à la fin du XIXe siècle par Pierre Bingen, célèbre fondeur à la cire perdue. Mais Valsuani n’occupe pas le local de Bingen et s’installe dans un bâtiment récent : une petite maison où il vit, et un atelier attenant de 400 m2.

Claude Valsuani pratiquait la patine à chaud, au chalumeau, technique qui ne se généralisa que lorsqu’on disposa de chalumeaux à gaz ne laissant pas de dépôt charbonneux, très bien maîtrisée par les Italiens du début du XXe siècle. Il en obtenait des résultats d’une grande beauté. La fonderie Valsuani était aussi célèbre pour pratiquer le noyau « à l’italienne » et la potée « à la bouse de vache » (voir explication de cette technique dans LEBON, p. 256, en bas de la col. 2 et p.261, note 7), lente mais économique et qui donnait des résultats d’une finesse remarquable. Vers 1910, il employait 4 à 5 ouvriers.

D’Hébrard, Valsuani reprit la pratique de numérotation des bronzes, probablement pas de façon systématique au début. Il indique sur ses tirages, le numéro de l’exemplaire rapporté au nombre total d’épreuves prévues, ce que ne faisait alors ni Hébrard ni Rudier. Il semble avoir été le premier à adopter cette méthode, sans doute à l’instigation de sculpteurs qui, ayant ris la leçon d’Hébrard, optent pour une numérotation sans ambiguïté. Ce type de numérotation va se répandre peu à peu, au point de devenir l’actuelle règle législative.

Les tirages réalisés chez Valsuani sont souvent limités à 10 épreuves, ou moins, norme qui, sans être impérative semble avoir été adoptée par les sculpteurs désireux de limiter leur production, depuis le début du XXe siècle jusqu’à la réglementation de 1968.

À ses débuts, Claude ne porte pas systématiquement son cachet sur ses travaux.

Il se construit rapidement une réputation d’excellent fondeur à cire perdue. Il attire les artistes soucieux de qualité. N’agissant jamais en marchand, il offre volontiers un soutien. Il reste seul à travailler à la fonderie à la fin des hostilités, en avril 1918.

Il est inquiété lors du procès des faux Rodin contre Montagutelli en 1919. Sa bonne foi fut reconnue et il ne fut pas poursuivi.

Le sculpteur Pierre Bouret travailla à la fonderie comme retoucheur jusqu’au milieu des années 30.Turridu Clementi, jeune orphelin, fils du fondeur Tullio Clementi, fit une partie de son apprentissage chez Claude Valsuani (entre 1927 et 1932).

Attilio († vers 1960), jeune frère de Claude, travaillait probablement avec lui puisque lorsque que Claude meurt brutalement, c’est lui qui avertira la clientèle et annonce qu’il devra prendre des mesures extraordinaires. Il ne reprend cependant pas la direction de l’affaire et s’installera lui-même comme fondeur à cire perdue au plus tard, semble-t-il, en 1926.

 

I – 2) VALSUANI Marcel – 1924-1974

La veuve de Claude gère l’entreprise durant l’année 1923. Puis rapidement son fils, prénommé Marcel comme le grand père, interrompt des études de médecine pour remplacer son père, apparemment en 1924. Il garde le cachet Claude Valsuani et maintient l’excellente réputation de la fonderie.

Sous les noms de Claude comme de Marcel, la fonderie attira les noms les plus prestigieux et les plus exigeants de la sculpture. Le cachet « Claude Valsuani » est synonyme d’excellente qualité, de patines remarquables. Le « noir Valsuani » est l’une des patines les plus célèbres de cette maison.

On évoque parfois une activité d’éditeur de Valsuani dans l’entre-deux-guerres, par exemple pour Pompon. Mais il ne peut pas être considéré comme éditeur, au même titre que Susse ou Barbedienne : aucun contrat n’était établi avec les artistes qui ne cédaient aucun droit et contrôlaient eux-mêmes leur production. Valsuani était simplement leur fondeur.

Marcel Valsuani, comme la plupart de ses confrères, voit son activité décliner dans les années 1930. Il est mobilisé pendant toute la guerre. La fonderie ne reprendra qu’en 1947.

En décembre 1950, Marcel Valsuani achète le terrain et les bâtiments du 74 rue des Plantes. L’entreprise emploie 6 salariés en 1952 pour arriver à une vingtaine au milieu des années 1970.

Il est arrivé que Valsuani fasse sous-traiter des fontes au sable, soit par Susse, soit par Georges Rudier. Les fontes étaient alors livrées brutes à Valsuani qui se chargeait de les achever (elles portaient le cachet « C. Valsuani ».

Malade, Marcel Valsuani se retire à Nice ers 1973, laissant l’entreprise entre les mains de son directeur technique Antoine Tamburro.

Claude Valsuani est l’auteur d’un texte intitulé : Les procédés modernes de la fonte à cire perdue reproduit dans Devaux, p. 301.

 

II – APRÈS LES VALSUANI

 

II – 1) DEMEURISSE-SOKOLOWSKI – 1974-1977

Puis en 1974, au plus tard, le fonds est vendu à Anne Demeurisse, fille du légataire universel du sculpteur Pompon, laquelle en confie la gérance à son mari Jacques Sokolowski, courtier en assurances de formation dont l’ambition arriva mal à propos dans une période de récession. L’entreprise fit de grosses pertes, certaines pratiques lui attirèrent l’hostilité de la profession et elle fut mise en faillite en 1977.

L’entreprise fut reprise courant 1977 par le sculpteur Olivier Brice (célèbre pour être l’auteur du trône de Bokassa !) qui se porte gérant de 1977 à 1980. Une partie de l’équipe quitte alors la fonderie pour participer à la création d’une nouvelle fonderie nommée :

 

II – 2) FONDERIE TAUBE-LEBEL – 1977-vers 1981

Cire perdue

En 1977, Jean Lebel, ancien chargé de mission à la fonderie Claude Valsuani de la rue des Plantes, s’associe avec Taube pour créer à, La Plaine-Saint-Denis la « Fonderie Taube-Lebel ». L’équipe technique est menée par D. Jolivot et J. Rosini, anciens ouvriers de la fonderie Valsuani depuis 1974.

 

II – 3) FONDERIE TAUBE – Vers 1981-24 mars 1984

Cire perdue

Jean Lebel quitte l’entreprise vers 1981.

Cachet : . CIRE . / TAUBE / (au centre, un arbre) / PARIS / PERDUE

Seul le nom de Lebel est enlevé du cachet.

La fonderie Taube cesse son activité en le 24 mars 1984.

 

II – 4) FONDERIE DE LA PLAINE – 1984-1985 (voir notice)

Cire perdue

Adresse : 6 rue Proudhon, 93210 – La Plaine-Saint-Denis

Cachet (hexagonal) : FONDERIE / DE LA / PLAINE / (au centre : un soleil) / CIRE / PERDUE

 

Le fonds de l’entreprise est aussitôt repris par D. Jolivot et J. Rosini qui créent la S.A.R.L. « Fonderie de La Plaine ».

Le moulage est parfois sous-traité. Les cires, la fonte, la ciselure et la patine sont réaliés par l’entreprise.

 

II – 5) AIRAINDOR – 1985-1992

Cachet : CIRE / AIRAINDOR / PERDUE

La fonderie Airaindor ouvre ses portes à Chevreuse en 1985. Dès 1981, son fondateur le sculpteur Leonardo Bounatian-Benatov dit Benatov (1942-), fils du peintre d’origine russo-arménienne Leonardo Bounatian-Benatov (1899-1972), relocalisa la fonderie en créant Airaindor Valsuani à Chevreuse. Il avait acquis dans une vente à la chandelle le cachet « CIRE/C.VALSUANI/PERDUE » qu’il utilise soit tel quel, soit dans une version légèrement agrandie et plus carrée de ce cachet, à la demande de la clientèle ou lorsqu’il veut distinguer son travail de celui de la célèbre fonderie de la rue des Plantes. Benatov s’est vu reconnaître légalement en 1989, puis en appel en 1991, dans des procédures qu’il a lancées à l’encontre de Michel Toselli, la propriété du nom « Valsuani » en tant que marque déposée. Il a toutefois perdu en cassation en 1997 contre Thierry Valsuani (arrière-petit-fils d’Attilio Valsuani et lui-même fondeur), devenu après Michel Toselli propriétaire du cachet « Attilio Valsuani » qu’il avait attaqué en justice pour lui défendre l’usage de ce patronyme.

La fonderie est spécialisée dans la fonte sous vide d’un seul jet et de pièces monumentales. La société Airaindor a été placée en redressement judiciaire en juin 1992.

 

Monsieur Benatov a recréé une société :

II – 6) AIRAIN D’ART – 1993

La fonderie a ensuite changé d’appellation à plusieurs reprises, les datations étant relativement incertaines…

 

II – 7) ATELIER DES ARTS AIRAINDOR-VALSUANI – Après 1993, en activité

Adresse :

– 72 bis, rue de la Porte de Paris, 78460 – Chevreuse

– La Croix Saint-Lubin, rue Fabre d’Églantine, 78460 – Chevreuse

 

II – 8) COMPAGNIE PARISIENNE DES BRONZES ET SCULPTURES – TABLEAUX (BPBS)

 

Et plus récemment : « CEPIMEX » en tant que compagnie d’import-export.

 

Au début des années 1990, la fonderie était en rapport étroit avec la galerie ART et ART, 204 boulevard Saint-Germain, Paris.

Le 6 janvier 2012, Benatov reçoit le label « Entreprise du Patrimoine Vivant » des mains de Frédéric Lefebvre, Secrétaire d’État chargé de l’Artisanat, et de Valérie Pécresse, alors Porte-Parole du Gouvernement.

 

III – 1) VALSUANI Attilio – Décédé vers 1960 – Fils de Marcello

Dates de l’entreprise : avant 1927 (1926 ?)-1981

Nationalité : ?

Adresse : 1 rue Gustave Tricard (= 108 avenue Aristide Bruand, = 108 route d’Orléans, = 1 rue Bertie-Albrecht), Bagneux (Hauts-de-Seine)

Cachets :

– CIRE / A.VALSUANI / PERDUE

– CIRE PERDUE / A.VALSUANI / PARIS (un seul exemple de celui-ci)

 

Marcello Valsuani arrive en France au début du XXe siècle, appelé semble-t-il par Hébrard qui en fait son chef d’atelier dès l’ouverture de sa fonderie en 1902. Les deux fils d’Attilio arrivent avec lui ou peu après : Claude qui s’installera comme fondeur rue des Plantes à partir de 1908 et Attilio qui vit à Paris en 1910 au plus tard.

Il est possible qu’Attilio ait dans un premier temps secondé son frère. Malgré l’existence de rares cachets, rien ne permet d’établir l’existence d’une fonderie dirigée par Attilio à Paris. Utilisa-t-il la mention abusive mais plus prestigieuse de Paris avant son installation à Bagneux ? On ne peut établir la date exacte de son installation à Bagneux. Le sculpteur Gualterio Busato rapporte que son père, Mario Busato, avant d’ouvrir sa propre fonderie en 1932, travailla comme retoucheur de cire chez Attilio Valsuani de 1923 à 1931. Ayant fréquenté cette fonderie jusqu’à sa disparition, Busato témoigne qu‘elle a toujours fonctionné dans des locaux très précaires.

À Bagneux, Attilio Valsuani apparaît comme propriétaire d’un atelier, 1 ue Gustave Tricard à partir de 1929, d’une maison, rue de Limours et d’une maisonnette 44 route d’Orléans à partir de 1934.

Il est signalé comme fondeur établi à Bagneux en 1926, 1929 ou 1931 au plus tard. Il débute de façon très précaire probablement aux alentours de 1926 ou même un peu plus tôt si son installation peut être mise en corrélation avec la mort de son frère Claude en 1923.

La fonderie d’Attilio n’apparaît qu’en 1933 dans le bottin commercial : de 1933 à 1935 « Nouvelle fonderie artistique à cire perdue » et à partir de 1936 « Valsuani, fonte à cire perdue ».

Entre 1950 et 1956, c’est Mme Valsuani, née Alice Siran, qui figure comme propriétaire et qui règle les taxes foncières. Attilio meurt vers 1960.

Attilio recevait la clientèle de sculpteurs exigeants. Il travaillait ses moules à la bouse de vache (voir explication de cette technique dans LEBON, p. 256, en bas de la col. 2 et p.261, note 7). Il utilisait toujours un alliage pauvre en cuivre qui donne un métal très jaune. Après une ciselure soignée, il y appliquait une patine à chaud d’une grande qualité.

 

III – 2) VALSUANI Lucien

La fonderie est reprise par le fils d’Attilio : Lucien ; il est dit propriétaire de la fonderie en 1972 ; il est domicilié 2 avenue de Touraine à Sceaux.

 

III – 3) VALSUANI Claude – Fils de Lucien

Claude succède à Lucien à la tête de l’entreprise à une date inconnue (ne pas le confondre avec son grand-oncle, voir notice suivante). Doué pour les patines, il le fut moins pour la gestion de sa société que sa passion du luxe mena à sa ruine.

En 1977, la taxe professionnelle est perçue par des « Établissements Valsuani et fils SARL » qui se décrivent étrangement comme une fonderie de plombs à façon.

Claude est atteint d’une maladie incurable et sa fonderie dans une situation financière critique lorsqu’un incendie d’origine inconnue la détruit en septembre 1981. À cette occasion disparaissent toutes les archives de l’entreprise et de nombreux moules. Claude clôt sa société et, en décembre 1981, il revend pour une somme minime le cachet « Attilio Valsuani » à Michel Toselli. (Entre 1989 et 1997, procès entre Michel Toselli et Leonardo Benatov (voir : III.- 5) à propos des cachets Valsuani).

Claude participe ensuite financièrement à la création d’une nouvelle fonderie dirigée par son ancien chef d’atelier, Gérard Delmas (voir paragraphe IV).

Claude meurt en octobre 1985.

 

III – 4) VALSUANI Thierry – Fils de Claude

Après un long séjour à l’étranger, entre dans l’entreprise Delval en 1983. En 1986, il se sépare de Gérard Delmas et ouvre sa propre fonderie à Paunat en Dordogne, travaillant avec un cachet « T. Valsuani ».

Gérard Delmas devient alors l’unique propriétaire de la société Delval. (voir paragraphe IV).

 

IV – APRÈS LES VALSUANI : DELVAL

Cette fonderie, nommée « Delval » par association des deux noms Delmas-Valsuani, s’installe à Antony, rue des Rabats. Gérard Delmas y réutilise quelques-unes des machines sauvées de l’incendie et s’appuie sur l’ancienne clientèle de la fonderie de Bagneux.

Il fut également soutenu par des artistes clients d’A. Valsuani qui l’incitèrent à créer une nouvelle société. En 1986 il s’associe à ses fils Olivier et Arnaud, s’installe à Antony et utilise son propre cachet :

Un cachet « Delval » est aussitôt créé et utilisé. (Sauf pendant la période où des fontes furent faites par la fonderie Delval pour le compte de Michel Toselli, en tant que propriétaire du cachet « A. Valsuani », principalement de nombreuses œuvres de Camille Claudel).

Dates : 1982, en activité

Adresse : rue des Rabats à Antony

La fonderie ne répertorie pas les œuvres coulées, ni leur numérotation. Au contraire, elle reporte systématiquement toute responsabilité concernant le numérotage des épreuves, le millésime de l’année de fonte et la signature du sculpteur sur le commanditaire des épreuves. Elle entend ainsi se dégager de toute irrégularité. Dans cette fonderie, on pratique la fonte, la ciselure, la patine. Il n’y a pas d’atelier de moulage.

Sources et liens externes

Sources : 1) DEVAUX (Yves), L’univers des bronzes…, Paris, 1978, p.301. - 2) HACHET (Jean-Charles), Dictionnaire illustré des sculpteurs animaliers et fondeurs, de l’Antiquité à nos jours, 2 vol., 18000 pages, 2005. Les fondeurs, tome II, p. 885-886. - 3) KJELLBERG (Pierre),Les bronzes du XIXe siècle (dictionnaire des sculpteurs), Paris, les éditions de l’amateur, 1989, p.678. 4) LEBON (Elisabeth), Dictionnaire des fondeurs, 2003, p. 256-263.
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